DOSSIER – Quel anti-douleur pour chien choisir pour soulager son compagnon ?

Il peut être effrayant de voir son chien souffrir, et se sentir impuissant face à cette douleur. Face à son compagnon qui se plaint, ou peine à se déplacer, il est donc tentant de vouloir donner des anti-douleurs à son chien, pour calmer la douleur et l’apaiser.

Seulement, il peut être potentiellement dangereux de traiter la douleur du chien de la même manière qu’on traiterait celle d’un humain. Les anti-douleurs et anti-inflammatoires pour humain ne sont pas forcément recommandés dans le traitement de la douleur du chien, et d’autres alternatives moins dangereuses, naturelles, existent.

Nous nous focaliserons, dans cet article, sur les anti-douleurs pour chien, notamment dans les cas d’arthrose, leurs contre-indications, et les alternatives saines pour votre compagnon.

Dans quel cas donner des anti-douleurs à son chien ?

La question mérite d’être posée : car il n’est pas toujours légitime de songer à donner des anti-douleurs à son chien.

Dans un premier temps, il s’agit de distinguer deux types de douleurs :

• Les douleurs aiguës. Elles apparaissent brutalement, et sont généralement d’origine traumatique (le chien s’est cassé un os, par exemple), chirurgicale (suite à une intervention) ou infectieuse. Elle peut disparaître assez rapidement, et répond bien aux antalgiques.
• Les douleurs chroniques. Celles-ci peuvent se prolonger sur des mois, voire des années. Elles sont souvent liées à des pathologies dégénératives (comme les douleurs arthrosiques) ou à des pathologies malignes évolutives (comme les douleurs cancéreuses). Certaines peuvent apparaître suite à une douleur aiguë, en tant que douleur post-traumatique.

Il est essentiel de différencier ces deux types de douleurs, car on ne les traitera pas de la même manière. Les douleurs aiguës sont à traiter ponctuellement, tandis que les douleurs chroniques doivent être gérées tout au long de la durée de la douleur du chien.

Note : Souvent, dans les cas d’arthrose chez le chien âgé, cette douleur peut survenir jusqu’à la fin de sa vie. Toutefois, l’arthrose secondaire chez le jeune chien peut souvent être réglée, grâce à un simple changement de régime alimentaire, adapté à ses Besoins Biologiques et Naturels. Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre article dédié au sujet de l’arthrose chez le chien.

Ainsi, il sera bénéfique de soulager son chien avec des anti-douleurs lorsqu’il :

• A été victime d’un traumatisme, ou a subi une chirurgie
• Présente des symptômes d’arthrose
• Souffre à cause d’une maladie comme le cancer

Peut-on donner des anti-douleurs et anti-inflammatoires pour humain à son chien ?

Avant de vouloir soulager votre compagnon, il est crucial de savoir si vous pouvez donner des anti-douleurs pour humain, ou des anti-inflammatoires pour humain, à votre chien.

L’aspirine et l’ibuprofène pour le chien

Nous autres, humains, avons le réflexe, en cas de douleur, de nous tourner vers l’aspirine ou l’ibuprofène. Mais ces médicaments sont-ils adaptés à nos compagnons à quatre pattes ?

Chez le chien, l’aspirine et l’ibuprofène peuvent avoir des effets secondaires¹ assez graves, tels que :

• Un abaissement de la protection de l’estomac contre l’acidité
• Des vomissements
• Une diminution de la circulation sanguine dans les reins du chien

Parfois, un vétérinaire va prescrire à votre animal ces médicaments. Ce sera notamment le cas s’il présente des soucis cardiaque, ou des thromboses veineuses : l’aspirine ou l’ibuprofène permettront alors au sang du chien d’être fluidifié²³.

Cependant, l’automédication avec ces types d’anti-douleurs est clairement contre-indiquée pour votre chien. Et ces médicaments doivent bien sûr être évités autant que possible.

Le paracétamol pour le chien

Sachez-le : l’enzyme qui permet de traiter le paracétamol est présente en bien plus petite quantité dans le foie du chien que dans celui de l’humain. C’est pourquoi, lorsque vous donnez du paracétamol à votre animal, il s’accumule dans son foie, et en détruit les cellules⁴, pour ensuite atteindre le sang.

Conséquence ? Le paracétamol peut très rapidement être fatal pour votre chien. Le surdosage est fréquent, et très rapide, notamment chez les chiens de petite taille. Il est donc absolument déconseillé de donner du paracétamol à votre compagnon.

Quel anti-douleur pour chien pour soulager son arthrose ?

Pour soulager les douleurs de son chien, il s’agit de rester bien vigilant. En effet, tous les anti-douleurs pour le chien ne sont clairement pas toujours sans répercussion sur la santé de nos animaux.

Il est important pour les propriétaires d’avoir toutes les cartes en mains, connaître les risques de certains médicaments mais également savoir ce qui existe comme alternatives naturelles et efficaces.

Vous ne le savez peut-être pas, mais dans certains cas, des traitements naturels vont réellement traiter la cause, quand d’autres médicaments se concentreront uniquement sur les symptômes et n’auront un effet que sur le court terme.

Voici une liste des médicaments anti-douleurs et anti-inflammatoires qu’on peut trouver chez le vétérinaire ou en pharmacie et un anti-douleur naturel pour chien appelé le Canzocal.

Les anti-inflammatoires stéroïdiens (AIS) pour le chien

Les anti-inflammatoires stéroïdiens sont des médicaments corticoïdes utilisés chez le chien contre la douleur et l’inflammation, mais aussi contre les oœdèmes. L’anti-inflammatoire pour chien le plus commun est sans doute la cortisone, malheureusement encore trop couramment prescrite.

Ils sont particulièrement efficaces mais ne sont clairement pas sans risques. Leurs effets secondaires peuvent être très importants. Utilisés à forte dose, ils ont même des propriétés immunosuppressives : ils affaiblissent le système immunitaire du chien, qui devient beaucoup plus sensible aux potentielles agressions bactériennes et virales.

Cette classe de médicaments anti-douleurs est donc à éviter au maximum !

Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) pour le chien

Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens, dits AINS⁵, sont prescrits comme antalgiques ou analgésiques contre la douleur, comme anti-inflammatoires pour lutter contre l’inflammation; mais aussi comme antipyrétiques contre la fièvre.

Tous les anti-inflammatoires non-stéroïdiens sont très efficaces lors d’inflammations aiguës ; mais moins performants lors d’inflammations chroniques. Par exemple les AINS sont intéressants pour le traitement des crises arthrosiques dans l’arthrose du chien ou dans les inflammations aiguës telles que le entorses chez le chien.

Dans le traitement de l’arthrose, ces anti-douleurs et anti-inflammatoires ne représentent nullement un traitement de fond du processus dégénératif : ils permettent uniquement de soulager très ponctuellement le chien. En effet, il ne suppriment pas la cause du phénomène dégénératif, mais suppriment simplement les inflammations associées à ces processus. Il ne sont donc pas la solution, et sur le moyen et le long terme peuvent apporter d’autres atteintes ou maladies graves.

Parmi les effets indésirables des anti-inflammatoires non-stéroïdiens, on compte :

• Des troubles digestifs (nausées, vomissements…)
• Des diarrhées chroniques
• Une ulcération de l’estomac, ou ulcère intestinal
• Des répercussions sur la fonction rénale du chien
• Une diminution du nombre de plaquettes (servant à la cicatrisation)
• Des effets sur le métabolisme du sodium et du potassium

De plus, après l’arrêt du traitement de ces ulcères liés à l’utilisation d’AINS, ces pathologies sont très longues à guérir : il faut compter plus d’un mois pour qu’ils cicatrisent. Plus le traitement est long, plus les effets sont importants.

On vous conseillera de donner ces AINS pendant le repas du chien. Faire cela permettra uniquement de soulager au mieux la muqueuse de l’estomac au moment de la prise du médicament, mais ne permet pas à diminuer les risques de ces effets secondaires.

Avant de donner des AINS à votre chien, il vous faut donc bien réfléchir aux implications de ces anti-douleurs. Chez les chiens à plus fort risque, tels que ceux qui présentent des maladies rénales, des insuffisances cardiaques, un trouble hépatique, ou encore les chiens d’un certain âge ou les femelles en gestation, c’est d’autant plus le cas.

Note : Chez l’humain, les effets secondaires de ces anti-douleurs et anti-inflammatoires sont la première cause de mortalité liée aux médicaments.

Les AINS ne sont donc pas des molécules anodines, et leur utilisation demande un véritable encadrement vétérinaire.

Le Metacam : que faut-il en penser ?

Souvent prescrit dans les cas d’arthrose dégénérative et chronique, le Metacam est l’un des anti-douleurs et anti-inflammatoires non-stéroïdiens les plus utilisés actuellement.

Cependant, vous l’avez compris : la prise de médicaments anti-inflammatoires n’est jamais sans risque. Certains médicaments peuvent d’ailleurs être plus dangereux que d’autres. Selon le RCP Officiel⁶, le Metacam peut, quant à lui, provoquer des “risques potentiels de toxicité rénale”, voire être “fatal” dans certains cas rares.

En somme, un médicament n’est jamais anodin, surtout chez le chien. Il est de notre responsabilité de privilégier des compléments naturels quand cela est possible, d’autant plus quand il existe des solutions naturelles hautement efficaces et permettant d’éviter tous les risques potentiels liés aux médicaments. C’est le choix que nous avons fait à l’élevage des Joyeuses Gambades (Meilleur Élevage de France dès 1998).

Le Canzocal : une alternative d’anti-douleur naturel pour le chien contre l’arthrose

Lorsque l’on souhaite soulager les douleurs articulaires du chien atteint d’arthrose, il est important de ne pas se limiter au traitement des symptômes. Il vous faut vous attaquer à la racine du problème, à savoir la dégénérescence des articulations de votre compagnon et notamment du cartilage !

Pour ce faire, à l’élevage des Joyeuses Gambades, nous n’avons à ce jour trouvé qu’un seul traitement naturel qui traite l’arthrose efficacement et de manière globale : le Canzocal. Il s’agit d’un complément ostéo-articulaire, à administrer par voie orale, contenant minéraux, protéines et acides aminés qui constituent naturellement l’os vivant.

Ainsi, non seulement le Canzocal agit comme antidouleur et anti-inflammatoire naturel chez le chien atteint d’arthrose, mais il remet le chien en mouvement rapidement, en régénérant les articulations de manière tout à fait naturelle. Preuve en est : il est également très souvent utilisé sur les chevaux de course, pour régénérer naturellement les cartilages et articulations traumatisés lors des courses.

N’étant pas un médicament mais bien un complément ostéo-articulaire naturel, les effets positifs du Canzocal ne se font ressentir entre 3 à 6 semaines, voire 8 semaines pour les cas les plus avancés. En effet, les effets positifs arrivent dès l’instant où le cartilage a réellement commencé à se régénérer de manière conséquente. Il s’agit là du seul traitement de fond naturel réellement efficace que nous ayons à ce jour trouvé parmi toute l’offre disponible sur le marché. Ceux à qui nous le recommandons en sont très satisfaits voire obtiennent des résultats parfois au-delà de leurs attentes comme en témoignent ces différents avis certifiés :

L’alimentation : un essentiel pour prendre soin de sa santé

Quelle que soit la douleur dont souffre votre compagnon, l’alimentation est clé dans le fait de le soulager, et préserver sa santé tout au long de sa vie. Dans les cas d’arthrose du chien, c’est plus que jamais le cas : votre animal a besoin de bonnes protéines animales, de minéraux et acides aminés pour calmer l’inflammation et régénérer ses os et articulations.

Parce qu’il peut être complexe de s’y retrouver dans l’offre pléthorique de nourriture pour chien disponible sur le marché, nous partageons avec vous quelques critères-clés d’une alimentation adaptée aux Besoins Biologiques et Naturels de votre compagnon.

Une alimentation sans fruits, légumes, légumineuses ou tubercules

Depuis quelques années déjà, on voit fleurir sur le marché de nombreux aliments intégrant dans leur composition des légumes, fruits, légumineuses ou tubercules. Or, ces croquettes et pâtées ne respectent pas la nature originelle de nos compagnons, qui demeurent des carnivores, malgré des millénaires de domestication. La pomme de terre, les lentilles, les pois, pois-chiches et patates douces, les agrumes, les extraits de raisins… ont-ils réellement du sens dans leur alimentation ?

Au-delà du fait de n’être pas adaptés au régime naturel de nos chiens, ces ingrédients sont à l’origine de bon nombre de problèmes de santé chez eux, et notamment de :

• Selles molles et diarrhées chroniques
• Vomissements réguliers
• Dermatites atopiques
• Cardiomyopathies, comme la FDA le soupçonne et l’annonce dans une étude récente⁷…

Ces aliments sont inflammatoires voire très inflammatoires pour nos carnivores, d’ailleurs, certains de ces aliments sont d’ores et déjà répertoriés comme toxiques au Centre Antipoison Animal de l’Ecole Vétérinaire : c’est le cas de la pomme de terre⁸, de l’ail, de l’oignon⁹, et du raisin¹⁰.

Par mesure de précaution et pour éliminer efficacement l’inflammation, il s’agit donc d’éliminer tous ces aliments de la gamelle de nos compagnons dès maintenant. Il en va de leur santé et leur bien-être.

Une alimentation contenant de bonnes protéines et graisses animales

En tant que carnivores, nos compagnons tirent majoritairement leur énergie vitale des protéines et graisses animales qu’ils incorporent dans leur organisme. C’est pourquoi il est crucial pour les propriétaires de leur trouver une alimentation riche en protéines animales… mais pas n’importe lesquelles !

Pour une pâtée ou croquette contenant des protéines animales idéales, veillez à ce que sa nourriture ne contienne :

• Pas de sous-produits animaux, qui constituent en fait les déchets de l’industrie agro-alimentaire humaine (têtes, carcasses, pieds de porc, pis de vache, tendons, becs, plumes…)¹¹.
• Limiter au maximum la viande de porc, très acidifiante quand donnée en quantité, et pas de viande de boeuf, à l’origine de nombreuses intolérances chez les chiens. Privilégiez les viandes issues de petites proies (canard, volaille, agneau, lapin…) comme il en mangerait dans la nature.
• Que des viandes agréées à la consommation humaine, si possible d’origine française, notamment pour des questions de qualité et de traçabilité.

Grâce à ces bonnes protéines et graisses animales, votre chien conservera une santé de fer tout au long de sa vie, et pourra affronter ses douleurs aiguës ou chroniques avec plus de panache.

Une alimentation intégrant le strict minimum de glucides

Si les glucides ont été beaucoup diabolisés ces derniers temps par certains nouveaux lanceurs d’alertes aux croquettes toxiques, il s’agit de rétablir la vérité sur le sujet. Les glucides sont neutres sur la santé de l’animal, tant qu’ils ne sont pas présents dans l’aliment en trop grande quantité. En effet les chiens peuvent parfaitement digérer une certaine quantité d’amidon et le riz et le maïs restent aujourd’hui les deux sources d’amidon les plus digestes pour nos animaux avec une digestibilité de plus de 98%, devant l’amidon des légumes¹²¹³.

Choisissez donc une nourriture qui ne dépasse pas les 1/3 de glucides dans sa composition (soit 33% de l’aliment total). Avec les croquettes que nous utilisons à l’élevage des Joyeuses Gambades nous avons personnellement réussi à atteindre un taux record de 23% seulement ! Le seul moyen de baisser encore ce taux serait l’utilisation de certains amidons complexes contenus dans certains légumes qui ne seraient pas sans répercussions sur la santé des chiens.

Parfois il vaut mieux un petit peu de glucides issus de céréales (qui seront sans répercussion sur leur santé) qu’un tout petit peu moins de glucides issus de légumes pouvant avoir des répercussions plus ou moins graves sur la santé de nos animaux. Evitez absolument ces ingrédients : légume, tubercule ou légumineuse ou fruit.

Une alimentation cuite à basse température

Quelle que soit la qualité des ingrédients de base contenus dans la croquette ou la pâtée que vous choisissez à votre chien, une cuisson à trop haute température viendra dégrader les bons nutriments qu’ils contiennent.

Pire : des études récentes¹⁴ témoignent du fait qu’une cuisson haute température libère des acrylamides, des substances hautement cancérigènes et toxiques pour nos chiens.

Faites donc attention à ce que la nourriture que vous achetez pour votre compagnon soit cuite à basse température, dans le respect de l’intégrité nutritionnelle de ses bons ingrédients de base.

Une alimentation testée en laboratoires indépendants

Enfin, toute marque de nourriture pour chien soucieuse d’apporter leur meilleur aux animaux saura montrer patte blanche, et vous fournir les résultats de tests menés en laboratoires indépendants. Les croquettes ou pâtées seront ainsi testées contre les mycotoxines, OGM et métaux lourds, des éléments qui peuvent être nocifs pour nos compagnons.

C’est le parti que nous avons pris, chez CROQ’ la Vie, en affichant à même notre site web les résultats de nos tests en laboratoires.

Nos croquettes CROQ’ la Vie, élaborées à partir des Besoins Biologiques et Naturels du chien, respectent bien sûr tous ces critères de qualité.
80% de canard d’origine française, aucun fruit, légume, tubercule ou légumineuse, et un taux record de seulement 23% de glucides… Tout ce dont votre chien a besoin, pour affronter les douleurs qui peuvent survenir dans sa vie, et conserver une bonne santé chaque jour !

Une question sur la gestion de la douleur de votre chien ? Un besoin d’être accompagné pour prendre les bonnes décisions concernant son alimentation ? Contactez-nous dans les commentaires ci-dessous, ou directement par email. Nous vous répondrons avec plaisir dans les meilleurs délais, de manière personnalisée.

Références

1. [↑] Spyridakis LK, Bacia JJ, Barsanti JA, Brown SA – Ibuprofen toxicosis in a dog – Journal of the American Veterinary Medical Association, 01 Oct 1986 : https://europepmc.org/article/med/3771364
2. [↑] Bodh I.JugduttMB, ChBGrover M.HutchinsMDBernadine H.BulkleyMD, FACCLewis C.BeckerMD, FACC – Salvage of ischemic myocardium by ibuprofen during infarction in the conscious dog – The American Journal of Cardiology, Volume 46, Issue 1, July 1980, Pages 74-82 : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/0002914980906086
3. [↑] Reynier M; Monnier G; Eyraud H; Dubreuil J; Journeau G; Roquet F Cent. Rech. Lab. Roger Bellon, 94140 Alfortville – Inhibition de l’adhesivite et de l’agregation plaquettaires et protection contre l’anoxie ischemique cerebrale par l’aspirine et le 1520 rb. etudes chez l’animal. – AGRESSOLOGIE; FR.; da. 1977; vol. 18; no 6; pp. 315-324 : https://pascal-francis.inist.fr/vibad/index.php?action=getRecordDetail&idt=PASCAL7850418258
4. [↑] B. G. Gazzard, R. D. Hughes, P. J. Mellon, B. Portmann, and R. Williams ; A dog model of fulminant hepatic failure produced by paracetamol administration. ; The British Journal of experimental pathology. 1975 Oct; 56(5): 408–411. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2072783/
5. [↑] VIDAL : Prise en charge par les AINS : https://www.vidal.fr/recommandations/4022/ains_traitement_par/prise_en_charge/
6. [↑] RCP Officiel, Metacam : http://www.ircp.anmv.anses.fr/rcp.aspx?NomMedicament=MELOSOLUTE+5+MG%2FML+SOLUTION+INJECTABLE+POUR+BOVINS+PORCINS+CHIENS+ET+CHATS
7. [↑] FDA (U.S. Food and Drug Administration) – Questions & Answers: FDA Center for Veterinary Medicine’s Investigation into a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease – June 27, 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/animal-health-literacy/questions-answers-fda-center-veterinary-medicines-investigation-possible-connection-between-diet-and
8. [↑] La pomme de terre : enregistrée au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html
9. [↑] L’ail et l’oignon :, enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html
10. [↑] Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html
11. [↑] RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF
12. [↑] De-Oliveira, L. D., Carciofi, A. C., Oliveira, M. C. C., Vasconcellos, R. S., Bazolli, R. S., Pereira, G. T., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on diet digestibility and postprandial glucose and insulin responses in cats. Journal of Animal Science, 86(9), 2237-2246. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18469063
13. [↑] Carciofi, A. C., Takakura, F. S., De‐Oliveira, L. D., Teshima, E., Jeremias, J. T., Brunetto, M. A., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on dog diet digestibility and post‐prandial glucose and insulin response. Journal of Animal Physiology and Animal Nutrition, 92(3), 326-336. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18477314
14. [↑] Croquettes pour chat : la gamelle qui rend malade : https://www.frc.ch/croquettes-pour-chat-la-gamelle-qui-rend-malade/