Insuffisance rénale de votre chien : QUELLE ESPÉRANCE DE VIE ?

Votre chien souffre d’insuffisance rénale, et son espérance de vie semble suspendue au fonctionnement de ses reins ? Vous n’êtes pas seul : depuis 30 ans que nous sommes engagés dans la santé animale, nous avons vu passer des centaines de cas de chiens que nous avons accompagné. 

Dans l’insuffisance rénale, les pronostics vétérinaires ne sont en général jamais bien bons : peut-être en avez-vous déjà fait les frais. Cependant, on constate qu’avec certains conseils de bon sens, la différence de pronostic est souvent notable. 

Dans cet article humain qui, nous l’espérons, vous apportera un peu d’espoir, nous vous partageons des témoignages de personnes pour qui l’espérance de vie de leur chien a totalement changé le jour où ils ont pris conscience de certains points essentiels, que nous vous partageons ici. 

N’hésitez pas à nous dire dans les commentaires ce que vous vivez, et n’hésitez pas à nous solliciter si vous avez besoin d’aide : nous le faisons gratuitement, au nom de la santé canine.

Insuffisance rénale du chien : quelle espérance de vie ? et témoignages

C’est bien la question que se posent les propriétaires de chiens, lorsque l’insuffisance rénale de leur compagnon est déclarée, et qu’elle devient de plus en plus grave. La réponse n’est pas aisée à donner, et dépend de nombreux facteurs, comme vous allez le découvrir.

Les origines réelles de l’insuffisance rénale

L’espérance de vie d’un chien atteint d’insuffisance rénale dépend tout d’abord de l’origine de la pathologie. Il est important pour vous, son maître soucieux de sa santé, de comprendre d’où proviennent ses soucis rénaux.

D’une part, il est important de savoir que les premiers éléments à incriminer dans l’insuffisance rénale du chien sont les protéines. On dit souvent qu’un chien souffrant de la pathologie est un chien qui a consommé des protéines en trop grande quantité… mais voilà une explication qui ne tient pas la route, sachant que votre chien est un carnivore, et a des grands besoins en protéines.

Dr Vétérinaire Jutta Ziegler : “Des études américaines ont clairement montré depuis longtemps qu’un apport réduit en protéines ne permet pas de remédier aux maladies rénales. Bien au contraire : le plus important, qu’il s’agisse de [chiens] en bonne santé ou de [chiens] malades des reins, est de leur donner des protéines de qualité […] ”¹

Le souci vient plutôt de la qualité des protéines, lorsqu’elles sont inadaptées aux Besoins Biologiques et Naturels de l’animal. C’est notamment le cas…

• Des sous-produits animaux²³. Très fréquemment utilisés dans la nourriture animale, ils sont en fait les déchets de notre industrie agro-alimentaire humaine. Tous les bas-morceaux que nous ne consommons pas et qui sont impropres à la consommation humaine s’y retrouvent mêlés : carcasses, têtes, tendons, viscères, pattes, cuirs, becs, plume, … Ils mettent clairement à rude épreuve le système digestif de nos chiens, et peut-être encore plus leurs reins.
• Des protéines issues de viandes provenant de pays aux législations peu strictes. Tous les pays n’ont pas la chance d’avoir des législation et une régulations fortes comme la France en matière de nourriture animale. C’est ainsi qu’on retrouve dans certains aliments, en provenance d’Amérique du Nord, des viandes avariées recyclées à la Javel, mais aussi, des viandes reconstituées à base de graisses, d’eau, et de farines animales à la provenance parfois très floue pour les consommateurs. L’Europe n’est d’ailleurs pas épargnée et la DGCCRF signale également que bien des fabricants usent et abusent de l’appellation “viande fraîche”⁴.
• Des protéines d’origine végétale, issues des légumes, tubercules ou légumineuses. Votre compagnon étant un carnivore, elles sont inadaptées à sa physiologie digestive et non sans répercussions sur sa santé. D’ailleurs, leurs méfaits peuvent aller plus loin encore : c’est pourquoi le Centre Antipoison Animal de l’École Vétérinaire en classe déjà certains (comme la pomme de terre⁵) comme toxiques. La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, quant à elle, ne cesse d’alerter chaque année, dans des rapports éloquents, sur le lien entre certains légumes, leurs dérivés (protéine de…, amidon de…, fibre de…), et des cas de cardiomyopathies canines graves⁶⁷⁸.

Plus votre chien aura été nourri longtemps avec ce type de protéines, plus son insuffisance rénale sera forte, plus son espérance de vie sera potentiellement réduite.

Notez également qu’une origine médicamenteuse à l’insuffisance rénale est possible. Si certains médicaments indiquent sur leur notice des cas d’insuffisance rénale en effets secondaires, bon nombre d’autres provoquent des néphrites interstitielles aiguës (NIA), à l’origine d’insuffisances rénales importantes.

Quels sont donc les médicaments les plus souvent responsables de ces NIA, et qui mènent à des insuffisances rénales chez 40 à 60% des cas dans les causes médicamenteuses⁹ ?

• Certains antibiotiques, comme la méthicilline, qui a été retirée du marché pour cette raison. Les sulfamides sont également souvent incriminés dans des cas de NIA¹⁰.
• Tous les anti-inflammatoires non-stéroïdiens, qui induisent également des altérations hémodynamiques rénales¹¹.
• Les antituberculeux, et en particulier la rifampicine (Rimactan)¹².
• Certains diurétiques, puisque beaucoup d’entre eux sont des sulfamides, comme le furosémide (Lasix ®), ou des thiazidiques, également à l’origine de néphrites interstitielles aiguës¹³.
• Des hypo-uricémiants, qui permettent de lutter contre l’urée chez le chien, comme l’allopurinol (Zyloric ®), provoquent des NIA qui peuvent s’associer à des atteintes hépatiques parfois fatales¹⁴.

Comme l’explique le Dr Thierry Gauthier et le Pr Jean-Pierre Wauters : “dans les formes d’insuffisances rénales d’origine médicamenteuse, l’éviction précoce de la substance responsable est le principal déterminant du pronostic.”¹⁵ En somme, le fait d’éliminer cette origine médicamenteuse le plus tôt possible est absolument déterminant sur l’espérance de vie de votre chien. Mais également pour l’aider à ne pas arriver au stade de l’insuffisance rénale en phase terminale, ou à une issue plus tragique encore.

Là encore, plus votre chien aura consommé ces médicaments, plus son insuffisance rénale provoquera une espérance de vie potentiellement réduite. Mais, comme vous allez le constater, contrairement à ce qui est officiellement enseigné dans les écoles vétérinaires, cette pathologie est loin d’être toujours une fatalité !

Si vous suivez les traitements que l’on vous recommande, on prescrira souvent à votre chien : - Des perfusions ou une dialyse pour potentialiser l’élimination des éléments toxiques présents dans son sang
- Des diurétiques, afin d’aider le chien à faire pipi, et donc à éliminer davantage les toxiques ou pour diminuer son hypertension souvent associée
- Des antibiotiques si votre chien présente également une cystite ou autre infection urinaire plus grave.
- Des médicaments contre d’autres symptômes de la maladie : anti-vomitifs, anti-diarrhée, médicaments contre la tension artérielle,…
Attention toujours à vérifier que ces médicaments ne vont pas aggraver la maladie ! Nous l’avons vu, les médicaments n’ont jamais rien d’anodin et encore moins quand le chien souffre déjà d'insuffisance rénale.

Des pronostics d'espérance de vie qui ne rassurent pas toujours, et pourtant…

Bien sûr, il n’est pas rassurant pour un propriétaire de voir son animal, déjà bien affaibli, souffrir. Et les pronostics d’espérance de vie liés à l’insuffisance rénale du chien n’aident généralement pas les propriétaires à garder l’espoir nécessaire pour soigner leur compagnon…

En effet, d’expérience, bon nombre de praticiens de santé sont rapidement pessimistes face à cette pathologie… et souvent trop pessimistes quand on sait qu’il existe de réelles alternatives de traitement par l’origine même du souci (quand il ne s’agit pas d’une intoxication sévère ou d’un empoisonnement, comme avec du raisin par exemple, mortel pour nos chiens) !

“Plus tôt l’insuffisance rénale est prise en charge, meilleurs sont les résultats et l’espérance de vie du chien, du moins si la cause n’est pas liée à une intoxication sévère mais bien comme dans la grande majorité des cas liée à l’alimentation du chien ou du chat.” - Anne ROS - Éleveuse de chien depuis 30 ans et Meilleur Élevage de France dès 1998

Vous allez voir dès maintenant que l’espoir existe, et qu’il est important de ne pas le perdre !

L’insuffisance rénale du chien est-elle toujours mortelle ?

Toutes ces informations, aussi rassurantes soient-elles, ne vous disent pas pour autant si l’insuffisance du chien est toujours mortelle, si elle doit forcément se finir de manière funeste, par une euthanasie.

Là encore, la réponse est à mitiger : cela dépend de plusieurs facteurs. Ceci étant, le taux d’urée et de créatinine de votre chien peut vous indiquer s’il y a plus ou moins d’espoir dans la guérison de l’insuffisance rénale de votre compagnon.

Il faut savoir que les valeurs référentes “normales” en urée et en créatinine chez le chien sont :
- Taux d’urée : 0.2 à 0.5 g/L (20 à 50 mg/dl)
- Taux de créatinine : 5.5 mg/L à 12.5 mg/L (0,55 à 1,25 mg/dl)
Ces taux doivent être interprétés conjointement pour pouvoir diagnostiquer une insuffisance rénale. Par exemple, un chien avec un taux d’urée élevé, mais un taux de créatinine normal, ne sera pas insuffisant rénal.

D’expérience d’éleveurs, impliqués sur le terrain depuis plus de 30 ans, nous savons pertinemment que les chiens présentant des taux d’urée à 2 g/L et de créatinine à 40 mg/L (insuffisance rénale de stade 3) ne sont pas voués à une issue fatale… très souvent loin de là, même ! À ce stade de la pathologie, votre compagnon doit avoir encore bon appétit (urée inférieure ou égale à 2 g/L), et il peut être soigné en appliquant les quelques conseils-clés que vous allez voir par la suite.

Lorsque le chien dépasse ces taux de 2 g/L d’urée et 40 mg/L de créatinine, la situation devient plus complexe, mais il n’est pas pour autant condamné d’avance ! En effet, chaque cas d’insuffisance rénale est différent, et nous avons vu des chiens avec des taux plus élevés s’en sortir, quand d’autres, aux taux moins importants, auront été emportés par la pathologie, soit en raison de leur âge, soit en raison de leur très faible vitalité.

C’est pourquoi il est important pour vous de ne pas baisser les bras. Dans certains cas, les chiens souffrant d’insuffisance rénale et à l’espérance de vie soit-disant courte, contre tous les avis de professionnels de la santé canine, se sont retrouvés de nouveau en bonne santé en quelques semaine ou mois seulement.

Eh oui, la nature est parfois surprenante. Et si votre compagnon faisait partie de ces chiens qui guérissent, et rallongent leur espérance de vie initialement diagnostiquée, grâce à quelques conseils concrets, de bon sens ? Quel que soit le stade de la maladie de votre chien, n’hésitez pas à nous contacter pour que nous vous accompagnons, comme nous l’avons fait avec tant d’autres animaux, dont beaucoup se sont tiré d’affaire et vivent heureux aujourd’hui avec leurs maîtres.

Comment soigner l’insuffisance rénale chez le chien à un stade avancé ?

Alors, êtes-vous prêt vous aussi à tenter de soigner votre chien de sa maladie à un stade avancé ? Même si l’on vous a certifié que votre chien est en phase terminale d’insuffisance rénale, ces quelques conseils-clés doivent être tentés ! Vous verrez qu’ils partent du bon sens, appuyé par une expérience et des résultats notables, mais font bien souvent toute la différence.

Découvrez ici comment faire baisser le taux d’urée et de créatinine chez votre chien.

Le jeûne : une étape nécessaire

Mettre son chien à la diète 1 à 2 jours par semaine fait partie des remèdes naturels les plus efficaces qui soient, et ce pour de nombreuses pathologies. Et l’insuffisance rénale ne fait pas exception à la règle : le fait de faire jeûner votre chien permet de mettre son système digestif au repos, et son organisme a alors plus d’énergie pour l’aider à éliminer les toxines et purifier son sang.

Si votre chien n’a plus du tout d’appétit, la démarche ne sera pas compliquée.

Un repas par jour pour les chiens de moins de 40 kg

S’il a toujours faim, n’hésitez pas à tomber à un seul repas par jour pour les chiens de moins de 40 kg. Cela l’aidera fortement à retrouver toute son énergie. Étant à jeun la majeure partie de la journée, son organisme peut aisément se concentrer sur l’élimination des toxines et cela est primordial. Au delà de 40 kg, certaines grandes races pouvant être sujettes à des retournements d’estomac, nous ne conseillons pas cette pratique.

Parce que chaque cas est différent, demandez-nous conseil par email ou dans les commentaires, nous vous aidons gratuitement, au nom de la santé animale.

L’alimentation : un élément déterminant pour le soigner

Mais le jeûne ne peut pas tout résoudre : si votre compagnon continue à ingérer les éléments qui le rendent malade, ses taux d’urée et de créatinine ne baisseront pas.

C’est pourquoi il faut vous pencher sur le contenu de sa gamelle, pour trouver la nourriture pour chien idéale contre l’insuffisance rénale, qui viendra l’aider à purifier son sang. Vous le savez désormais : la qualité des protéines dans son alimentation doit être surveillée… mais pas uniquement.

Pour guérir d’une insuffisance rénale, un chien doit se voir prodiguer une alimentation de réelle qualité, qui respecte ses Besoins Biologiques et Naturels. Cette alimentation est absolument déterminante pour son espérance de vie, et également pour son bien-être durant cette période, qu’il y ait rétablissement ou non.

Mais alors, quels sont donc les critères-clés de qualité alimentaire pour souscrire aux besoins originels de votre compagnon ? Je préfère vous le dire de suite, détachez-vous des discours habituels et faites appel à votre bon sens. C’est grâce à ce bon sens que nous arrivons personnellement à aider tant d’animaux à retrouver une réelle joie de vivre, quand la médecine officielle explique pourtant que cette pathologie est irréversible. Ces critères clés que vous devez retenir sont au nombre de 5, et les voici :

1. Une nourriture sans légumes, tubercules, légumineuses ou fruits. Ils sont source d’un très grand nombre d’intolérances ces 5 dernières années : selles molles, diarrhées chroniques, vomissements de bile, gastrites… votre chien n’a vraiment pas besoin de cela en ce moment.
2. Une bonne dose de protéines et graisses animales mais de qualité. Faites place à des protéines et graisses naturelles animales issues de viandes provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et de pays aux législations strictes, comme la France. Votre chien est un carnivore domestique, sans cette source alimentaire il ne pourra pas lutter contre sa maladie.
3. Un maximum de 33% de glucides (soit ⅓ de la composition de l’aliment). En-deçà de cette limite, les glucides restent neutres pour la santé du chien, et vous évitez les soucis de diabète, d’obésité ou d’infections urinaires¹⁶ qui peuvent survenir en cas d’une trop forte consommation de glucides. Une trop forte quantité déséquilibrera le pH urinaire du chien en le rendant alcalin¹⁶ et ce n’est pas ce dont il a besoin actuellement, surtout s’il présente une infection urinaire. Exit donc les aliments trop riches en glucides.
4. Une cuisson à basse température. À haute température, certains ingrédients libèrent des acrylamides¹⁷ (cancérigènes) et des Advanced Glycated End products¹⁸ (nocifs pour les reins du chien). Attention donc à choisir une cuisson basse température de ses nouvelles croquettes ou pâtées.
5. Des tests menés en laboratoire contre les OGM, mycotoxines et métaux lourds. Ces différents éléments ne cessent d’intéresser les chercheurs, qui pointent de plus en plus du doigt leur dangerosité sur la santé animale, mais aussi humaine. Certains métaux lourds comme le Cadmium, le Plomb et le Mercure font partie des plus grands toxiques pour les reins. Il est donc important pour vous d’avoir une pleine confiance en l’entreprise fabricant sa nourriture : optez donc pour un fabricant vous présentant les preuves de son engagement pour la santé animale, sous forme de résultats de tests en laboratoire.

Notre engagement : aider les chiens, en remplissant enfin leurs besoins originels

Il est plus que jamais compliqué de faire confiance à l’univers de la PetFood. En tant qu’éleveurs aux Joyeuses Gambades, nous le savons bien : nous avons nous-même eu tant de difficultés à trouver la nourriture idéale pour la santé de nos animaux… que nous avons décidé de la créer ! C’est aujourd’hui en toute confiance et l’esprit serein que nous avançons et profitons pleinement de la vie avec nos animaux.

Depuis plus de 15 ans, les croquettes CROQ’ la Vie permettent à bon nombre de chiens de se sortir de pathologies, parfois chroniques depuis des années, telles que les insuffisances rénales, les diarrhées et vomissements chroniques, les dermatites ou encore les pancréatites.

Dedans, vous trouverez :
- 72% d’ingrédients d’origine animale, provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine
- Uniquement des ingrédients issus de nos terres françaises avec une traçabilité parfaite
- Aucun légume, tubercule, légumineuse ou fruit
- Seulement 23% de glucides

Le tout dans une cuisson à basse température et un enrobage à froid des graisses naturelles animales, respectueux de l’intégrité nutritionnelle de nos bons ingrédients de base… de la santé et du bien-être de votre chien !

La viande crue : un “coup de pouce” donné à la nature et déterminant dans les cas avancés

Voici un dernier conseil si votre chien est à un stade avancé de la maladie (insuffisance rénale de stade 3 ou 4). On vous a dit qu’il avait une faible espérance de vie, dûe à son insuffisance rénale ? Tendez donc l’oreille.

Ajoutez une part de bonne viande crue (poulet, volaille, canard, agneau, lapin) directement à sa ration quotidienne. Nous recommandons par exemple ½ ration croquettes de qualité et adaptées, mélangées avec 1,1% de son poids (poids de forme) en viande crue. Celle-ci participera davantage à augmenter sa clairance rénale, accélérera donc la purification de son sang, et s’avèrera être un véritable coup de pouce à la nature.

Si le pronostic vital de votre compagnon est réellement fortement engagé, vous pouvez même partir sur une alimentation de 100% de viande crue durant 3 semaines, pour mettre toutes les chances de son côté.

L’insuffisance rénale du chien est une pathologie complexe : n’hésitez donc pas à nous demander conseil dans les commentaires ou directement par email. Nous serons ravis de vous accompagner, et de vous aider à trouver les solutions naturelles qui pourraient venir en aide à votre compagnon.

Références

1. Dr Vétérinaire Jutta Ziegler – Toxic Croquettes – Édition Broché – 22 mai 2014, chapitre 1[↑]
2. RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[↑]
3. SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[↑]
4. Mentions d’étiquetage sur les aliments pour chiens et chats – Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/mentions-detiquetage-sur-aliments-pour-chiens-et-chats[↑]
5. Pomme de terre – Centre Antipoison Animal : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[↑]
6. FDA (U.S. Food and Drug Administration) : FDA Investigation into Potential Link between Certain Diets and Canine Dilated Cardiomyopathy / Enquête de la FDA sur le lien possible entre certains régimes et la cardiomyopathie dilatée canine – Mis à jour le 27 juin 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/news-events/fda-investigation-potential-link-between-certain-diets-and-canine-dilated-cardiomyopathy[↑]
7. FDA (U.S. Food and Drug Administration) - Questions & Answers: FDA Center for Veterinary Medicine’s Investigation into a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease - June 27, 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/animal-health-literacy/questions-answers-fda-center-veterinary-medicines-investigation-possible-connection-between-diet-and[↑]
8. Tous les rapports de DCM : Dilated Cardiomyopathy in Dogs & Cats : Complaints Submitted to FDA-CVM - January 1, 2014 – April 30, 2019 : https://www.fda.gov/media/128303/download[↑]
9. Alexopoulos E. Drug-induced acute interstitial nephritis. Ren Fail 1998 ; 20 : 809-19[↑]
10. Cryst C, Hammar SP. Acute granulomatous interstitial nephritis due to co-trimoxazole. Am J Nephrol 1988 ; 8 : 483-8. : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/3265285/[↑]
11. Whelton A. Nephrotoxicity of nonsteroidal anti-inflammatory drugs : Physiologic foundations and clinical implications. Am J Med1999 ; 106 : 13S-24S. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10390124/[↑]
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14. Cameron JS, Simmonds HA. Use and abuse of allopurinol (editorial) (published erratum appears in BMJ (Clin Res Ed) 1987 ; 295 : 350). BMJ (Clin Res Ed) 1987 ; 294 : 1504-5. : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/3607420/[↑]
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17. FRC (Fédéraction Romande des Consommateurs) - Croquettes pour chat : la gamelle qui rend malade : https://www.frc.ch/croquettes-pour-chat-la-gamelle-qui-rend-malade/[↑]
18. Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney - Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899[↑]