Chien qui boite de la patte avant : pourquoi, et QUE FAIRE ?

Voilà plusieurs semaines, voire plusieurs mois, que vous l’avez constaté : votre chien boite de la patte avant, droite ou gauche, et ce sans avoir été victime d’un traumatisme quelconque. Peut-être même votre chien est-il très jeune, et cette boiterie vous inquiète car vous n’en comprenez pas l’origine …

Dans cet article, je vous propose de découvrir ce qu’il faut faire face à un chien qui boite de la patte avant, et les raisons de ce souci mécanique en apparence… mais bien plus profond en réalité, vous allez le voir.

Pourquoi mon chien boite de la patte avant ?

Il est toujours pertinent, avant de chercher la solution à un souci, de se tourner vers ses origines réelles. Et, dans le cas du chien qui boite de la patte avant, un problème de plus en plus courant ces dernières années, vous allez sans doute être surpris de voir que le souci vient de plus loin que ce que vous croyez…

Les diagnostics erronés les plus fréquents

Si vous êtes déjà allé vous renseigner chez votre vétérinaire, peut-être votre chien a-t-il bénéficié d’un diagnostic pour boiterie de la patte avant. Seulement, il est important de savoir que bon nombre de ces diagnostics s’avèrent erronés…

Est-ce dû à une dysplasie ?

Bien souvent, devant un chien qui boite de la patte avant et qui n’a pas ou peu d’arthrose, ni subi de traumatisme, bon nombre de spécialistes de la santé diagnostiquent alors une dysplasie, soit une malformation des articulations et/ou des membres de l’animal.

Cette dysplasie est censée apparaître pendant sa croissance, et rester jusqu’à la fin de sa vie.

Cependant, bon nombre de chiens se mettent à boiter de la patte avant seulement après leur croissance initiale, entre leurs 2 et 6 ans. Dans ce cas-ci, et quand il n’y a pas ou que peu d’arthrose, il est impossible que votre chien souffre d’une dysplasie, dont les symptômes auraient dû apparaître plus tôt.

Est-ce dû à l’arthrose ?

Il n’est pas rare que l’on constate radiologiquement, chez des chiens assez jeunes, un début d’apparition d’arthrose prématurée. Celle-ci touche généralement les articulations des pattes, à savoir les coudes et les genoux. Mais est-ce pour autant qu’on peut dire que la boiterie est causée par ce début d’arthrose ?

Il faut savoir que l’arthrose chez le jeune chien n’est bien souvent pas l’origine même du chien qui boite de la patte avant. En effet, dans les cas d’arthrose prématurée, les articulations de votre compagnon vieillissent prématurément, car il présente un trouble postural. Qu’est-ce que cela signifie ? Que l’articulation de la patte avant de votre chien ne fonctionne pas dans son axe physiologique naturel.

Résultat : votre chien compense, en faisant beaucoup plus fonctionner ses ligaments et son articulation, et le cartilage s’abîme (arthrose prématurée). L’articulation tente alors de se protéger et un boitement apparaît alors, qu’il y ait de l’arthrose ou non.

Intéressé par l’arthrose chez le chien ? Consultez notre dossier sur le sujet : “Tout ce qu’il faut savoir sur l’arthrose du chien pour soulager son compagnon”

Que votre compagnon ait été diagnostiqué de dysplasie ou d’arthrose prématurée, c’est donc bien souvent du côté de ce trouble postural qu’il faut se tourner pour réellement soigner le chien qui boite de la patte avant.

La bon diagnostic, souvent ignoré…

Si vous vous penchez sur le fonctionnement de l’organisme de votre chien, vous constaterez que le bon fonctionnement de la mécanique de ses pattes dépend éminemment de certains centres nerveux, présents dans son cervelet et sa moelle épinière, sous le bulbe cérébral. Ce sont ces centres nerveux, en charge de la posture de l’animal, qui peuvent le faire boiter, être source d’hypertonie musculaire (muscles contractées) et d’une perte de tonus musculaire.

Or, et peu de propriétaires de chiens qui boitent le savent, ces relais nerveux sont liés à différentes parties du corps, qu’on ne soupçonnerait pas forcément, tels que :

• Les affluences nerveuses somatiques, affectées par les traumatismes (d’où le fait que le chien boite après un accident)
• La sphère céphalique (son crâne, ses yeux, ses oreilles)
• La sphère digestive, une origine majeure ces dernières décennies

Eh oui ! Les centres nerveux responsables de la bonne ou de la mauvaise posture de votre chien sont également intimement reliés à son appareil digestif (fois, estomac, pancréas, intestins, …).

En posturologie on appelle cela un réflexe viscéro-postural.

Ainsi, on voit se dessiner un élément que nous, éleveurs aux Joyeuses Gambades depuis 30 ans, voyons sur le terrain en permanence : la manière dont le chien est alimenté influe sur sa boiterie.

Difficile à croire ? Lisez donc la suite, pour comprendre pourquoi le chien qui boite de la patte avant est bien affecté de la sorte… par le contenu de sa gamelle.

Patte avant droite et patte avant gauche : quelle différence ?

Pour vraiment comprendre d’où vient ce trouble postural qui fait boiter votre chien, je vous propose désormais d’observer les deux cas de figures possible : le chien qui boite de la patte avant droite, et le chien qui boite de la patte avant gauche.

D’où vient cette boiterie de la patte avant droite ?

Là encore, penchons-nous sur un peu de neuro-posturologie chez le chien. Rassurez-vous : au-delà des termes techniques, vous allez très vite comprendre le souci de votre compagnon !

Nous n’avons abordé que l’origine posturale jusqu’à maintenant, mais en réalité, il existe deux origines neurologiques possibles en relation avec le système digestif : une origine prépondérante, qui est posturale, et une origine moins prépondérante, qui est sensitive.

Dans l’origine posturale, il faut savoir que tout organe dans le corps du chien possède des capteurs viscéro-posturaux. Il s’agit de récepteurs nerveux qui indiquent au système nerveux quand un organe est dans un certain inconfort. Quand vous avez mal au ventre, vous avez tendance à vous refermer dessus ? Eh bien c’est ça.

En cas de dysfonction hépatique, de la partie droite du pancréas ou des intestins, ces derniers envoient des informations au système postural du chien. La posture de l’hémicorps droit du chien se met à fonctionner en rotation externe, c’est à dire que la patte avant droite se met en rotation vers l’extérieur, ce qui induit une posture non-naturelle. La patte du chien ne fonctionne plus dans le bon axe physiologique et sera sur-sollicitée lors de la marche, comme nous l’avons vu dans la partie précédente. La boiterie de la patte avant droite apparaît alors soudainement, sans que le chien n'ait subi de traumatisme, et apparaît aussi avec le temps une arthrose prématurée.

Dans l’origine sensitive, le mécanisme est tout autre. Dans la patte avant droite du chien, on trouve des nerfs sensitif (qui vous donne la sensation) qui sont intimement reliés à un relai nerveux de l’épaule du chien : le ganglion stellaire. Ce ganglion est lui-même relié à deux nerfs capitaux (le nerf phrénique et le nerf vague dans sa partie sensitive), qui eux-mêmes sont liés… eh oui : aux capteurs sensitifs viscéraux du chien, dans son système digestif. L’organe majoritairement en question ici est en général le foie, mais il peut également s’agir plus rarement d’un atteinte de la partie droite du pancréas.

Ce relais nerveux peut-être à l’origine de paresthésie sur une patte avant. La paresthésie est un trouble du sens du toucher, regroupant plusieurs symptômes, dont la particularité est d'être désagréable, mais pas douloureux pour le chien : fourmillements, picotements, engourdissements, etc. Le chien n’ose alors plus poser la patte par terre. Vous marcheriez sur vos mains, vous, si vous aviez la main toute engourdie, qui picote ou fourmille ?

D’ailleurs, très souvent, mais pas systématiquement, on remarque d’autres symptômes digestifs chez le chien qui boite de la patte avant droite, tels que des selles molles ou diarrhées, ou encore la présence de parasites intestinaux.

Rassurez-vous toutefois : le foie est tout à fait capable de se régénérer, et les intestins peuvent se rééquilibrer… si vous vous intéressez au système digestif de votre compagnon, et à ce qu’il mange. N'hésitez pas à nous écrire dans les commentaire ou à nous contacter directement, nous vous aiderons avec grand plaisir.

Et la boiterie de la patte avant gauche, alors ?

Le cas du chien qui boite de la patte avant gauche est plus rare. Cependant, là encore, le souci est le même… sauf qu’il se situe dans la partie gauche de son système digestif.

Tout comme pour la patte droite, il existe en réalité deux origines neurologiques possibles en relation avec le système digestif. Il existe également une origine prépondérante, qui est posturale, et une origine moins fréquente, qui est sensitive.

Dans l’origine posturale, il s’agit des mêmes relais, mais concernant cette fois-ci l’hémicorps gauche du chien. La patte avant gauche se met en rotation vers l’extérieur et ne fonctionne plus dans son bon axe physiologique. Elle sera sur-sollicitée, là aussi, lorsque le chien marchera. La boiterie de la patte avant gauche apparaît alors soudainement, sans traumatisme, et apparaît avec le temps de l’arthrose prématurée.

Dans l’origine sensitive, le chien présente un souci à son estomac ou à la partie gauche de son pancréas. La conséquence est la même : cette information nerveuse fait relais dans le ganglion stellaire dans l’épaule de l’animal, et provoque une paresthésie (fourmillements, picotements, engourdissements, etc) à l’origine de la boiterie de la patte avant gauche.

D’ailleurs, là encore, on constate souvent, mais pas systématiquement, que les chiens souffrant de l’un de ces deux soucis sont également souvent victimes de diarrhées, de parasites intestinaux, de vomissements de bile, ou de gastrites chroniques.

Ainsi, que votre compagnon boite de la patte avant gauche ou de la patte avant droite, il vous faut examiner la qualité de la nourriture que vous lui fournissez. Car, dans la majeure partie des cas, c’est bien dans sa gamelle que se trouvent les éléments à incriminer de ses troubles digestifs…

Mais alors comment réagir ? Pouvez-vous aider facilement et rapidement votre chien ? … OUI !

Comment soulager, voire guérir, le chien qui boite ?

Voici venu le moment de trouver la solution au chien qui boite de la patte avant. Et bonne nouvelle : à l’issue de cet article, vous aurez toutes les cartes en main pour soulager, voire guérir, votre compagnon durablement.

Des centaines de propriétaires ont pris conscience de ce lien aujourd’hui bien trop sous-estimé entre alimentation du chien et boiterie. Ils ont suivi ces conseils de bons sens et ont rapidement pu voir le résultat. Voici leur retour par des avis certifiés par Trustpilot, que nous recevons en retour suite à la guérison de la boiterie de leur chien.

Notons ici que certains de ces maîtres ont dû également traiter spécifiquement des parasitoses intestinales qui s’étaient également développées en raison d’une alimentation inadaptée. Tout comme eux, n’hésitez pas à nous demander conseil, nous vous partageons notre expérience et vous aidons gratuitement.

Une alimentation adaptée pour régler ses soucis gastro-intestinaux

Vous l’aurez compris : pour stopper la boiterie de votre compagnon, il s’agit de laisser l’opportunité à son foie, son estomac, son pancréas ou ses intestins (dont sa flore intestinale) de se régénérer.

Et pour cela, il s’agit de lui trouver une alimentation respecte ses Besoins Biologiques et Naturels. Car, depuis de nombreuses années maintenant, la nourriture proposée à nos chiens par les fabricants de PetFood ne cesse de se dégrader en termes de qualité… et c’est bien à ces aliments de pauvre qualité ou inadaptés que l’on peut attribuer bon nombre des soucis de santé de nos chiens, dont la boiterie de la patte avant.

N’oublions pas que de plus en plus de chiens boitent des dernières années alors même qu’ils sont jeunes et n’ont subi aucun traumatisme, et pour cause…

Mais alors, quels sont les besoins originels de nos chiens ? Et comment l’aider à les retrouver, sans pour autant souscrire à une alimentation totalement à base de viande crue, onéreuse et difficile à tenir ?

Tout simplement en respectant ces 5 critères de qualité alimentaire, des critères essentiels et de bon sens, qui l’aideront à retrouver une bonne santé gastro-intestinale et donc à faire disparaître rapidement ces boiteries :

1. Choisissez un aliment ne contenant aucun légume, tubercule, légumineuse ou fruit. Il suffit de regarder l’intestin de nos compagnons (trois fois plus court que le nôtre, lisse et sans haustration¹ pour voir qu’il est incapable de digérer ces ingrédients, et qu’il est bel et bien un carnivore. Ces ingrédients sont aujourd’hui à l’origine d’un très grand nombre d’intolérances digestives. Ainsi, si vous intégrez des légumes, tubercules, légumineuses ou fruits dans sa gamelle, son système digestif va s’irriter, provoquant des boiteries, mais également des selles molles et diarrhées, des vomissements de bile, des troubles hépatiques ou encore des insuffisances rénales. D’ailleurs, il est important de savoir que le Centre Antipoison Animal de l’École Nationale Vétérinaire classe déjà certains de ces aliments comme “toxiques” (la pomme de terre², le raisin³, l’ail et l’oignon⁴). Quant à la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, elle, fait cas du fort lien entre certains légumes, leurs dérivés (protéine de…, amidon de…, fibre de…), et des pathologies graves telle que des cardiomyopathies chez les chiens⁵⁶⁷. Au-delà du fait de résoudre le souci du chien qui boite de la patte avant, il tient du bon sens (et de l’amour de son animal !) de supprimer de sa gamelle pomme de terre, patate douce, pois, petit pois, pois-chiche, lentille, haricot, courgette, tomate et autres ingrédients très incongrus pour lui, carnivore. Notons ici que la très grande majorité des légumes cités ici sont pointés du doigts par la Food and Drug Administration depuis 2017.
2. Sélectionner une nourriture à base de protéines et graisses animales naturelles et de qualité. Qui dit carnivore, dit grand besoin de protéines et de graisses animales… mais de qualité ! Or, c’est ce qui pèche souvent dans la nourriture actuelle de nos chiens, et provoque, là aussi, des irritations de leur système digestif. Ainsi, on voit souvent entrer dans la composition des aliments secs ou humides des sous-produits animaux⁸⁹. Si vous ne savez pas de quoi il s’agit, accrochez-vous : ce sont les déchets de notre industrie agro-alimentaire humaine, où carcasses, têtes, viscères, plumes, tendons, becs, pattes, cous, et autres sont mêlés. De même, l’origine de ces protéines est cruciale : on voit notamment, en Amérique du Nord, des aliments contenant des viandes avariées recyclées à la Javel¹⁰, ou encore, des viandes reconstituées à base de farines animales douteuses, de graisses et d’eau. D’ailleurs, la DGCCRF (Direction Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) constate bien souvent que les fabricants de PetFood en Europe usent et abusent eux-mêmes de l’appellation “viande fraîche”¹¹. La vigilance est donc de rigueur : privilégiez un aliment à base de protéines issues d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et provenant de pays aux législations strictes telle que la France, il en va de leur santé.
3. Ne pas dépasser la limite de 33% de glucides (soit ⅓ de la composition de l’aliment). S’ils ne sont pas directement liés au problème du chien qui boite de la patte avant, les glucides n’en sont pas moins nocifs pour la santé du chien lorsqu’ils dépassent cette limite de 33%, et perdent leur effet neutre sur son organisme. Au-delà de cette limite, votre chien pourrait souffrir d’obésité, de diabète, ou encore d’infections urinaires chroniques¹². Respectez donc sa nature, en lui prodiguant juste ce qu’il faut de glucides pour former un aliment sec (croquette), à savoir, 33% maximum.
4. Privilégier une cuisson à basse température. Si les ingrédients de sa nourriture comptent, leur mode de cuisson est tout aussi important. En effet, à haute température, certains de ces ingrédient libèrent, d’une part, des acrylamides¹³ (cancérigènes), et d’autre part, des Advanced Glycated End products¹⁴ (AGE, nocifs pour ses reins). Et si vous faisiez le choix de lui éviter ces écueils, en vous focalisant sur des aliments cuits à basse température ?
5. Vérifier que l’aliment est testé contre les mycotoxines, OGM et métaux lourds. Loin d’être anodins, ces éléments font pourtant partie de notre vie quotidienne… mais en petite quantité. Pourtant, dans les aliments pour animaux domestiques, il a été rapporté à plusieurs reprises que ces éléments se retrouvaient en quantité anormalement élevée. Rappelons tout de même qu’au cours de l’année 2017 des scientifiques et chercheurs ont largement tiré la sonnette d’alarme, en envoyant pas moins de 7 notifications au RASFF. Ils expliquent qu’un grand nombre d’aliments pour animaux de compagnie dépassaient les limites maximales en Arsenic fixées par l’UE lorsque la directive 2002/32 / CE était en vigueur¹⁵. Ces métaux lourds ne sont bien évidemment pas sans répercussions sur les organes et viscères de nos animaux. Face à ce constat, il nous semble donc primordial, aujourd’hui, pour avoir la confiance du fabricant, que celui-ci la gagne. Et quoi de mieux, pour ce faire, que d’afficher les résultats de leurs tests en laboratoires ?

Grâce à ces 5 critères-clés de qualité, vous pouvez désormais trouver l’aliment qui aidera votre chien à guérir de sa boiterie !

Il y a désormais plus de 15 ans, faute d’avoir trouvé un aliment suivant ces critères de qualité, nous avons décidé, à l’élevage des Joyeuses Gambades, de créer le nôtre. C’est ainsi que nous avons conçu les croquettes CROQ’ la Vie, avec en tête la philosophie de la Santé par l’Alimentation©.

Dedans, vous trouverez pas moins de 72% d’ingrédients d’origine animale, provenant de viandes issues d’abattoirs agréés à la consommation humaine, 23% de glucides seulement, et bien sûr, aucun fruit, légume, tubercule ou légumineuse. Leur cuisson basse température, et leur enrobage à froid par nos graisses naturelles de canard, est un véritable régal sans égal pour les chiens.

Il n’y a pas de miracle, c’est grâce à CROQ’ la Vie et à cette qualité que nous avons déjà pu aider tant propriétaires de chiens qui boitent, non suite à un traumatisme, à s’en sortir. Vous souhaitez que le vôtre soit le prochain ? N’hésitez pas à nous contacter pour que nous vous aidions à mettre en place les bonnes pratiques pour sa santé.

Des traitements complémentaires parfois nécessaires

Bravo : si vous avez suivi cette première étape, vous avez mis en place l’un des éléments cruciaux pour régler le souci du chien qui boite de la patte avant.

Cependant, dans certains cas de figure, il vous faudra procéder à l’addition d’un autre traitement spécifique :

• Si votre chien présente des vers ou parasites intestinaux, à l’origine de son irritation digestive, il vous faudra le vermifuger. À ce sujet, consultez notre dossier “Pourquoi vermifuger son chien, lequel choisir et à quel prix ?”
• Si votre chien présente bien de l’arthrose primitive (que seul un diagnostic radiologique pourra confirmer), vous pouvez vous tourner vers le complément ostéo-articulaire Canzocal, 100% naturel, utilisé par les éleveurs, qui vient soulager la douleur et aider ses articulations à se régénérer. À ce sujet, découvrez-en plus sur le Canzocal dans cet article.

Nous sommes toujours heureux de voir des propriétaires et leurs chiens régler des soucis de santé, grâce à des méthodes naturelles, qui ont fait leurs preuves.
Si vous souhaitez plus d’accompagnement, et bénéficier de conseils simples, de bon sens, qui font toute la différence, n’hésitez pas ! Contactez-nous dans les commentaires ci-dessous, ou par email directement : c’est toujours un plaisir de vous répondre, et nous le faisons gratuitement, par passion et envie de transmettre.

Références

1. Livre : Mammalogy - Adaptation, Diversity, Ecology, de A.George Feldhamer Lee C. Drickamer Stephen H. Vessey Joseph F. Merritt Carey Krajewski[↑]
2. Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[↑]
3. Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[↑]
4. L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[↑]
5. FDA (U.S. Food and Drug Administration) : FDA Investigation into Potential Link between Certain Diets and Canine Dilated Cardiomyopathy / Enquête de la FDA sur le lien possible entre certains régimes et la cardiomyopathie dilatée canine – Mis à jour le 27 juin 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/news-events/fda-investigation-potential-link-between-certain-diets-and-canine-dilated-cardiomyopathy[↑]
6. FDA (U.S. Food and Drug Administration) - Questions & Answers: FDA Center for Veterinary Medicine’s Investigation into a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease - June 27, 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/animal-health-literacy/questions-answers-fda-center-veterinary-medicines-investigation-possible-connection-between-diet-and[↑]
7. Tous les rapports de DCM : Dilated Cardiomyopathy in Dogs & Cats : Complaints Submitted to FDA-CVM - January 1, 2014 – April 30, 2019 : https://www.fda.gov/media/128303/download[↑]
8. SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[↑]
9. RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[↑]
10. Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/[↑]
11. Mentions d’étiquetage sur les aliments pour chiens et chats – Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/mentions-detiquetage-sur-aliments-pour-chiens-et-chats[↑]
12. Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html[↑]
13. FRC (Fédéraction Romande des Consommateurs) - Croquettes pour chat : la gamelle qui rend malade : https://www.frc.ch/croquettes-pour-chat-la-gamelle-qui-rend-malade/[↑]
14. Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney - Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899[↑]
15. Squadrone S , Brizio P , Simone G , Benedetto A , Monaco G , Abete MC – “Presence of arsenic in pet food : a real hazard ?” (Présence d’arsenic dans les aliments pour animaux de compagnie : un danger réel ?) – Vet Ital. 29 décembre 2017; 53 (4) : 303-307. doi : 10.12834 / VetIt.530.2538.2. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29307124 (Version entière au format PDF : http://www.izs.it/vet_italiana/2017/53_4/VetIt_530_2538_2.pdf[↑]