Insuffisance rénale du chien & euthanasie : est-ce vraiment une fatalité ?
On ne peut que comprendre le choc de l’amoureux des bêtes à qui l’on annonce, un jour, que son chien atteint d’insuffisance rénale devra sans doute être euthanasié tôt ou tard… et parfois plus tôt qu’on ne le pense.
Malheureusement, nous voyons de plus en plus de maîtres éplorés nous approcher pour cette maladie. L’insuffisance rénale du chien touche de plus en plus nos compagnons et de plus en plus jeune. Dans la bouche des vétérinaires, elle peut parfois sembler comme une véritable fatalité.
Seulement, au plus proche des chiens depuis plus de 30 ans, à l’élevage des Joyeuses Gambades, nous avons aussi eu plaisir à voir de nombreux animaux se sortir d’insuffisances rénales, parfois même à des stades très avancés.
La maladie rénale est censée être une pathologie irréversible selon la médecine vétérinaire, mais dans les faits, on voit une quantité de chiens en stade 3 (voire parfois en stade 4) guérir envers et contre tous. Cela est possible grâce à des conseils de bon sens qui vont presque à l’opposé des pratiques habituelles et inefficaces utilisées depuis 20 ans.
Ces cas font cesser l’équation “insuffisance rénale du chien = euthanasie”, présentée souvent comme inéluctable… mais qui en réalité ne l’est pas autant que cela dans bon nombre de cas ! Comment ? Grâce à quelques conseils simples, basés sur les besoins réels de votre chien malade, que nous vous dévoilons dans cet article. Vous y découvrirez aussi des témoignages réels et certifiés de propriétaires qui ont vu leur chien guérir, et qui, nous l’espérons, vous redonneront peut-être espoir pour votre propre compagnon.
Besoin de tout comprendre sur la maladie de votre chien, de ses origines à son espérance de vie face à la pathologie ? Consultez notre dossier sur le sujet : “Insuffisance rénale chez le chien : des origines au traitement de la maladie”
L’insuffisance rénale du chien débouche-t-elle toujours sur une euthanasie ? (vos témoignages)
Cette question trotte dans la tête de quiconque apprend que son compagnon est atteint de cette maladie. Mais sachez-le : l’insuffisance rénale du chien n’est pas toujours mortelle. Tout dépend, d’une part, de l’état d’avancement de la maladie, et d’autre part, de la manière dont vous pouvez influer sur sa santé… vous allez découvrir comment plus loin.
Quels sont ses taux de créatinine et d’urée ?
Pour savoir à quel stade de la pathologie est votre chien, votre vétérinaire a sans doute pratiqué des examens sanguins sur lui. L’objectif : déterminer ses taux de créatinine et d’urée. Or, ces taux sont tout à fait révélateur des chances qu’a votre compagnon de se sortir d’une insuffisance rénale sans euthanasie par la suite.
Tout d’abord, il est important de connaître les valeurs référentes “normales” de ces taux chez le chien :
- Taux d’urée référent : 0.2 à 0.5 g/L (20 à 50 mg/dl)
- Taux de créatinine référent : 5.5 mg/L à 12.5 mg/L (0,55 à 1,25 mg/dl)
Attention toutefois : on ne peut interpréter ces taux que l’un à l’aune de l’autre. C’est à dire que, par exemple, un chien présentant un taux d’urée élevé, mais un taux de créatinine normal, n’est pas en insuffisance rénale et inversement.
Des situations différentes selon ces taux
Cependant, voici ce que notre expérience d’éleveurs investis dans la santé animale nous a prouvé sur le sujet. Les chiens en insuffisance rénale de stade 3 ne sont pas forcément voués à une euthanasie : c’est même loin d’être la vérité ! La majorité des chiens aux taux d’urée à 2 g/L et de créatinine à 40 mg/L, qui ont encore bon appétit, s’en sortent si on leur en donne les moyens (comme vous le découvrirez dans cette dernière partie).
Pour les chiens en stade 4 d’insuffisance rénale (dépassant 2,5 g/L d’urée et 50 mg/L ou 5 mg/dl de créatinine), la situation n’est pas la même. Si le chien a encore de l’appétit, alors nous pouvons tenter le même protocole que pour le stade 3. Cependant, si le chien a perdu l’appétit, et ce depuis plusieurs jours, c’est le signe d’un avancement très fort de la maladie. À ce stade de l’insuffisance rénale chez le chien, s’il ne retrouve pas l’appétit malgré le fait de rester à jeun plusieurs jours, le pronostic n’est alors pas favorable et l’euthanasie devient alors une option, pour soulager l’animal.
De très nombreux propriétaires ont déjà pu aider leur chien, voici leurs témoignages ( réels, certifiés par TrustPilot) :
Les questions à se poser avant d’euthanasier un chien atteint d’insuffisance rénale
L’euthanasie, ou l’endormissement du chien comme on l’appelle souvent, est une option souvent présentée par les professionnels de santé animale en cas d’insuffisance rénale. Il s’agit, pour tout amoureux des chiens, d’une discussion grave, complexe, mêlant l’envie de ne pas voir souffrir son compagnon et la peine de le voir potentiellement partir.
Avant de vous lancer dans cette procédure très chargée en émotion, posez-vous donc les bonnes questions.
- Est-ce qu'il encore possible de traiter l'état de mon chien ?
- Mon chien souffre-t-il tellement, qu'il ne répond plus aux médicaments et aux antidouleurs ?
- Sa maladie terminale a-t-elle réduit la qualité de sa vie au point qu'il ne manges plus depuis plusieurs jours ?
- Mon chien a-t-il un défaut de naissance inopérable, une malformation rénale, qui lui offre une mauvaise qualité de vie ?
Si les réponses aux questions ci-dessus sont oui, alors l’euthanasie de votre chien est une option pour l’endormir de façon humaine. En optant pour l'euthanasie, sachez que la meilleure personne pour vous aider sera votre vétérinaire. Il peut attester de l'état de votre chien à l'aide de tests, et il pourra vous confirmer s'il est soignable ou s'il est mourant et doit être endormi. Cependant, au bout du compte, la permission d'euthanasier votre chien dépendra de vous.
En général, n'importe quel état entraînant une douleur importante et de la souffrance qui perdure, qu'elle soit aiguë ou chronique, peut être une raison humaine d'endormir un animal. La décision d'euthanasier votre chien est naturellement une décision douloureuse. C'est une responsabilité à laquelle des maîtres aimant sincèrement leur animal doivent souvent faire face. Les maîtres utilisent majoritairement l’euthanasie afin de permettre un départ décent et sans douleur à leur chien. Les maîtres faisant le choix d’endormir leur chien le font dans l'intérêt de leur animal : c’est pour son bien-être que la décision sera prise.
A l’inverse, pour d’autres propriétaires aimant également profondément leur animal, la décision d’endormir leur chien aimé ne peut être conçue. Ils ne savent pas combien de temps cela prendra, mais préfèrent rester proche de leur animal souffrant jusqu’à ce qu’il rende son dernier souffle.
Dans les deux cas il ne s’agit pas d’une décision simple et le choix de l’euthanasie ou non n’appartient qu’aux propriétaires seul.
Cependant, retenez cela : nous avons parfois vu la nature, avec quelques petits coups de pouce (que vous allez découvrir par la suite), sauver des animaux qui étaient pourtant, selon le discours des vétérinaires, condamnés.
En somme, chaque cas d’insuffisance rénale est différent, et bien plus de cas qu’on ne le pense demandent à ce qu’on leur laisse une chance. Notre recommandation, si vous souhaitez tenter de sauver votre compagnon, est donc de bien appliquer les conseils que nous allons vous partager dès à présent, et de ne pas hésiter à nous contacter si vous souhaitez que nous vous accompagnons.
Comment aider mon chien atteint d’insuffisance rénale, et tenter de le guérir ?
C’est décidé, vous voulez tenter d’éviter l’euthanasie pour votre chien victime d’insuffisance rénale ? Il va désormais s’agir d’appliquer des conseils qui peuvent allonger l’espérance de vie de votre compagnon face à la maladie… voire, comme nous l’avons vu, bien souvent, le soigner.
Mettre le système digestif du chien au repos
Dans un premier temps, un des points essentiel et souvent déterminant dans l’insuffisance rénale, est de faire jeûner votre chien, plus ou moins selon son poids :
- Pour les chiens de moins de 40kg : passez à un repas unique par jour (semi-jeûne)
- Pour les chiens de plus de 40kg : faites jeûner votre chien un à deux jours non consécutifs par semaine
Le jeûne est une étape de bon sens et très simple à mettre en place.
Il met son organisme au repos, et aide bien davantage le chien à purifier son sang, sans présence d’un surplus de toxines issues de la digestion des aliments. Cela permet de potentialiser la fonction rénale et une purification du sang maximale face à la situation.
En fournissant un sang de bien meilleure qualité, le jeûne apparaît donc comme une véritable aide pour le bon fonctionnement et la régénération des reins.
Surveiller les médicaments qui pourraient être en cause
Votre chien est sous traitement médicamenteux, pour son insuffisance rénale ou pour tout autre souci de santé ? Surveillez les notices de ses médicaments : si certains ne mentionnent pas d’effets secondaires liés à la pathologie rénale, d’autres affichent clairement qu’ils peuvent provoquer des troubles rénaux. Cependant, de nombreux autres médicaments ne mentionnant pas ces effets secondaires ont été mis en cause dans de nombreuses études comme étant en cause dans les néphrites interstitielles aiguës (NIA), dont la conséquence directe est une insuffisance rénale grave.
Quels sont donc les médicaments les plus souvent responsables de ces NIA, et qui mènent à des insuffisances rénales chez 40 à 60% des cas1 dans les causes médicamenteuses ?
- Anti-inflammatoires non-stéroïdiens : ils provoquent eux aussi des altérations hémodynamiques rénales2
- Antibiotiques : certains, comme par exemple la méthicilline, qui a été retirée du marché pour ces effets secondaires, sont responsables de NIA, tout comme les sulfamides3
- Hypo-uricémiants, qui permettent de lutter contre l’urée chez le chien, comme l’allopurinol (Zyloric ®)4
- Antituberculeux, comme la rifampicine (Rimactan)5
- Diurétiques, comme le furosémide (Lasix ®), ou des thiazidiques6
Et si vous voyez directement noter sur la notice de votre médicament des conséquences sur les reins ou sur leur fonctionnement, alors il est temps de trouver un traitement alternatif à votre compagnon. Car, comme l’expliquent le Dr Thierry Gauthier et le Pr Jean-Pierre Wauters, “dans les formes d’insuffisances rénales d’origine médicamenteuse, l’éviction précoce de la substance responsable est le principal déterminant du pronostic.”7
Besoin de trouver une alternative plus naturelle, moins invasive au traitement actuel de votre chien ? N’hésitez pas à nous contacter, pour que nous vous partagions nos conseils issus d’éleveurs impliqués depuis plus de 30 ans dans la santé animale.
Le plus important : lui fournir des protéines animales de qualité
Puis il est crucial de fournir à votre compagnon une source de protéines de bonne qualité, celles qui prendront enfin soin de ses reins. Peut-être avez-vous entendu dire que les protéines étaient responsables de l’insuffisance rénale chez le chien… et c’est en partie vrai. Ce que l’on ne mentionne pas assez, c’est bien que ce n’est pas la quantité de protéines qui est en cause, mais bien la qualité de ces protéines.
La Docteur Vétérinaire Jutta Ziegler, dans son livre Toxic Croquettes8, stipule d’ailleurs bien : “Des études américaines ont clairement montré depuis longtemps qu’un apport réduit en protéines ne permet pas de remédier aux maladies rénales. Bien au contraire : le plus important, qu’il s’agisse de [chiens] en bonne santé ou de [chiens] malades des reins, est de leur donner des protéines de qualité […]”
Et dans l’univers de la PetFood actuelle, où bien des fabricants n’ont pas uniquement la santé animale en tête, il peut sembler complexe de trouver à son compagnon carnivore une source de protéines réellement adaptée.
Les protéines et graisses animales incluses dans les croquettes et pâtées pour chien sont bien souvent peu adaptées à leur système digestif, voire toxiques et provoquent à terme de nombreuses insuffisances rénales, mais aussi diarrhées et selles molles, vomissements, et troubles hépatiques chroniques. Vous devez avoir en tête le fait que les troubles rénaux sont en continuelle augmentation depuis plusieurs années chez les chiens et pour cause… La qualité de leur alimentation ne cesse de se dégrader.
Prenez soin d’éliminer dès maintenant de sa gamelle tout ingrédient contenant…
- Des sous-produits animaux9. Si vous ne savez pas ce dont il s’agit, vous allez sans doute être surpris : les sous-produits animaux rassemblent tous les bas-morceaux de viandes dont notre industrie agro-alimentaire ne se sert pas. Carcasses, tête, viscères, tendons, plumes, becs, pattes, cuirs…10 Tout ceci s’y retrouve pêle-mêle, et vient mettre le système digestif de nos chiens à rude épreuve.
- Des viandes issues de pays aux législations peu strictes. Toutes les contrées du monde n’ont pas le bonheur d’avoir une législation aussi stricte que la France en matière de nourriture animale et de qualité. C’est ainsi que dans des pays d’Amérique du Nord, l’utilisation de viandes avariées recyclées à la Javel11 est monnaie courante dans les aliments pour chiens, ou encore des viandes reconstituées à partir de graisses, d’eau et de farines animales d’origine douteuse. Des pratiques totalement illégales chez nous mais qui sont malheureusement totalement légal à l’importation… Quant à l’Europe, la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes n’hésite pas à indiquer que bon nombre de fabricants de PetFood usent et abusent clairement de l’appellation “viande fraîche”12.
La vigilance est donc de rigueur, pour votre chien qui a tant besoin de bonnes protéines animales !
Si l’insuffisance rénale de votre chien est à un stade avancé (stade 3 ou phase terminale : stade 4)
Ajoutez une part de bonne viande crue dans sa ration quotidienne est souvent déterminant. Poulet, volaille, canard, agneau, lapin… Ces bonnes protéines animales l’aideront à augmenter sa clairance rénale13 (appelée filtration glomérulaire), et donc à purifier son sang plus rapidement. Mélangez par exemple la moitié de sa ration de croquettes habituelles (de bonne qualité, cela va sans dire) à 1,1% de son poids en viande crue (de forme).
N'hésitez pas à nous contacter et à nous demander conseil, nous vous aiderons gratuitement et avec grand plaisir.
Supprimer les légumes, tubercules, légumineuses et fruits de sa gamelle
Mais attention : la quête de bonnes protéines pour votre chien atteint d’insuffisance rénale ne s’arrête pas là ! Car d’autres types de protéines sont issus d’ingrédients souvent nocifs pour sa santé et se faufilent, depuis à peine une dizaine d’années, dans la nourriture animale : les protéines végétales.
En effet, ces légumes, tubercules ou légumineuses peuvent être à l’origine de nombreux troubles digestifs, de modification du pH sanguin14, voire de pathologies inflammatoires (pancréatites aiguës) et aggravent par conséquence l’insuffisance rénale du chien. On ne s’étonne d’ailleurs pas que…
- Le Centre Antipoison Animal de l’École Nationale Vétérinaire en classe déjà comme “toxiques” : en l’occurrence, la pomme de terre15, le raisin16, l’ail et l’oignon17
- La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis fasse cas, chaque année, du lien très probable entre certains légumes, leurs dérivés (protéine de…, fibre de…, amidon de…), et des cas de cardiomyopathies chez les chiens18. De très nombreuses marques sont malheureusement déjà pointées du doigts ces dernières années19.
Fortement irritants pour son système digestif, les pommes de terre, patates douces, pois, petits-pois, lentilles, pois-chiches et haricots20, mais aussi courgettes, tomates, et autres incongruités sont à formellement éviter, au nom de sa santé, et de son régime carnivore originel.
Ne pas négliger ces autres critères de qualité alimentaire
Avec un bon apport en protéines et graisses animales de qualité, et aucun légume, fruit, tubercules ou légumineuse dans sa gamelle, vous laisse déjà une chance à votre compagnon de s’en sortir.
Mais ne vous arrêtez pas là : il existe d’autres éléments à surveiller dans son alimentation, pour éviter d’infliger à son organisme déjà affaibli d’autres soucis de santé.
Attention notamment à lui choisir un aliment…
- Contenant moins de 33% de glucides (soit ⅓ de la composition de l’aliment). Au-delà de cette limite, les glucides perdent leur effet neutre sur la santé, et peuvent induire des infections urinaires chroniques21 mais aussi de l’obésité ou du diabète.
- Cuit à basse température. Lorsqu’ils sont cuits à haute température, certains ingrédients libèrent, d’une part, des Advanced Glycated End products (AGE)22, nocifs pour les reins du chien, mais également des acrylamides23, cancérigènes. Préservez l’intégrité nutritionnelle des ingrédients de la pâtée ou de la croquette, tout en protégeant votre chien, en privilégiant des ingrédients cuits à basse température.
- Testé en laboratoire, contre les mycotoxines, OGM et métaux lourds. Ces éléments, invisibles autant à l’oeil nu que sur les sachets de croquettes et de pâtées, ne sont pourtant pas sans conséquences sur la santé de nos animaux. Parmi les métaux lourds les plus fréquents et toxiques pour les reins du chien, on peut citer : le cadmium, le plomb et le mercure. Ce que les consommateurs ne savent bien souvent pas c’est que certaines études récentes montrent que les métaux lourds sont souvent en plus grande quantité qu’on ne le pense dans 24% des aliments pour chiens et chats24. Pour protéger nos animaux, une seule solution : demandez de la transparence aux fabricants, en leur demandant de vous fournir des tests menés en laboratoires indépendants. Nous le faisons personnellement pour la santé de nos propres chiens.
CROQ’ la Vie : notre engagement envers les chiens et leurs propriétaires
Voilà plus de 15 ans maintenant que, à l’élevage des Joyeuses Gambades, nous avons pris le parti de créer nos propres croquettes. Pourquoi donc ? Parce que, tout simplement, nous ne trouvions pas sur le marché d’aliment réellement adapté aux Besoins Biologiques et Naturels de nos compagnons et qui puissent nous apporter certaines garanties pourtant essentielles à nos yeux.
Nous avons ainsi créé les croquettes CROQ’ la Vie, qui ont déjà accompagné plus d’une centaine de chiens atteints d’insuffisances rénales de tout stade vers une meilleure santé. Dedans, nous avons mis tout ce qu’il faut à un chien pour garder la santé tout au long de sa vie : 72% d’ingrédients d’origine animale, provenant de viandes issues d’abattoirs agréés à la consommation humaine, 23% de glucides seulement, et bien sûr, aucun légume, fruit, tubercule ou légumineuse.
De plus, CROQ’ la Vie n’est pas uniquement une marque française, chez nous pas de jeu de mots, nous fabriquons en France et avec des ingrédients français, point ! Garantissant ainsi une traçabilité et une sécurité alimentaire parmi les plus strictes dans le monde. Il nous tenait également à coeur de faire tester nos aliments contre les mycotoxines, OGM et métaux lourds, et d’afficher les résultats de ces tests aux yeux de tous. Chez CROQ’ la Vie, nous considérons que la confiance des propriétaires d’animaux se gagne… et nous travaillons chaque jour pour ce faire !
Parce que la décision de procéder à une euthanasie sur un chien souffrant d’insuffisance rénale est complexe, et chargée d’émotion, nous avons à coeur d’accompagner les propriétaires qui se demandent que faire dans cette situation. N’hésitez donc pas à nous contacter, dans les commentaires ci-dessous, ou par email directement, pour que nous vous épaulions, et vous prodiguions des conseils qui ont déjà pu aider bon nombre de chiens dans le même cas.
retrouver tous les commentaires de cet articleRéférences
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- Th. Gauthier, J.-P. Wauters, Les néphrites interstitielles aiguës, Rev Med Suisse 2000, volume 4.20361 : https://www.revmed.ch/RMS/2000/RMS-2289/20361[↑]
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- SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[↑]
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- Squadrone S , Brizio P , Simone G , Benedetto A , Monaco G , Abete MC - “Presence of arsenic in pet food : a real hazard ?” (Présence d'arsenic dans les aliments pour animaux de compagnie : un danger réel ?) - Vet Ital. 29 décembre 2017; 53 (4) : 303-307. doi : 10.12834 / VetIt.530.2538.2. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29307124 (Version entière au format PDF : http://www.izs.it/vet_italiana/2017/53_4/VetIt_530_2538_2.pdf)[↑]