Arthrose du chien : l’euthanasie est-elle réellement nécessaire ?

Vous êtes déchiré face à la douleur de votre compagnon atteint d’arthrose, et commencez à songer à prendre la lourde décision, très chargée en émotion, de le laisser partir sereinement ?

Cette situation arrive malheureusement fréquemment lorsqu’on prend un animal. Et l’amour qu’on lui porte nous amène bien souvent à devoir prendre cette décision irréversible, au nom de son bien-être.

Seulement, dans le cas de l’arthrose du chien, l’euthanasie n’est parfois pas la solution finale, et ce même dans des cas très avancés. Cet article a pour vocation de rallumer dans votre cœur une flamme d’espoir, en vous présentant les questions auxquelles songer avant d’euthanasier votre chien, et notre méthode 100% naturelle qui a déjà aidé de nombreux chiens à être soulagés.

Arthrose du chien & euthanasie : pourquoi y songez-vous ?

Si vous êtes comme la majeure partie des propriétaires de chiens atteints d’arthrose qui se posent la question d’euthanasier leur compagnon, vous désespérez de voir comment évolue la pathologie de votre chien, surtout lorsqu’il est âgé.

Atteint d’arthrose depuis quelques temps déjà, il a du mal à se mouvoir, voire ne bouge presque plus du lieu où il se repose. A chaque mouvement, vous le voyez manifestement souffrir, ce qui vous déchire le cœur. Bien sûr, aucun maître n’aime voir son animal souffrir sans réussir à le soulager.

Bon nombre de propriétaires ont également tout essayé : des anti-douleurs et anti-inflammatoires, aux massages anti-arthrose, en passant par des compléments alimentaires contre l’arthrose du chien, des traitements homéopathiques et des croquettes pour chien contre l’arthrose… rien n’y fait. La maladie continue à dégénérer, affectant les moments de vie de l’animal.

Face à une telle dégénération de l’arthrose du chien, l’euthanasie surgit dans l’esprit de ces maîtres désespérés.
Certains maîtres se disent qu’il s’agirait d’une manière de soulager leur chien, en l’endormant de manière humaine : le bien-être de l’animal est présent à tout moment dans leur esprit.
D’autres, qui aiment tout autant leur compagnon, voient cette décision comme impossible à prendre : ils veulent rester avec leur cher animal jusqu’à son dernier souffle, et même si cela peut prendre longtemps.

Quel que soit le stade de votre réflexion sur l’euthanasie face à l’arthrose de votre chien, le plus important est de vraiment se demander si vous avez tout fait pour tenter de soulager votre compagnon. Après tout, c’est une décision très importante, qui ne revient qu’à vous, maître aimant et soucieux du bien-être de votre compagnon.

Les questions à se poser avant d’euthanasier un chien atteint d’arthrose

L’euthanasie d’un animal qui nous est cher n’est bien sûr pas une décision anodine. Lorsqu’une pathologie, quelle qu’elle soit, entraîne des douleurs (chroniques ou aiguës) de manière persistante, il est tout à fait normal d’y songer.

Seulement, avant de prendre votre décision, voici quelques questions qu’il faut vous poser :

• Est-il encore possible de traiter l’arthrose de votre chien, pour l’aider à se sentir mieux, et peut-être reprendre un peu de mobilité ? (voir nos conseils au dernier chapitre)
• Si un traitement était nécessaire, serait-il encore capable de faire des choses qu’il aime, qui le rendent heureux ?
• Souffre-t-il à tel point que les médicaments ne fonctionnent plus, que ce soit des anti-inflammatoires non-stéroïdiens, des traitements à base de cortisone, ou d’autres anti-douleurs pour chien ?
• Sa maladie réduit-elle la qualité de sa vie, au point qu’il ne bouge plus du tout de son plein gré ?
• Présente-t-il un défaut de naissance inopérable (comme une dysplasie), une malformation (type malformation articulaire congénitale) ou une maladie incurable, qui dégrade sa qualité de vie ?

Vous avez répondu “oui” à quasi toutes les questions ? Peut-être effectivement qu’il sera difficile d’apporter quelque chose pour éviter l’euthanasie, qui peut naturellement être vue comme une solution pour le laisser tranquillement partir, plutôt que de le laisser souffrir encore.

Cependant, chez CROQ’ la Vie, nous sentons qu’il est de notre devoir d’accompagner les maîtres de vieux chiens atteints d’arthrose avancée, en leur signalant, avant que toute décision irréversible soit prise, qu’il existe une solution qui a pu aider déjà beaucoup de maîtres. Ce traitement contre l’arthrose du chien est 100% naturel, et a pu d’ores et déjà faire des miracles sur bon nombre de chiens, même âgés, souffrant d’arthroses parfois très avancées.

Consultez ces témoignages vérifiés de maîtres qui, comme vous, désespéraient de trouver une solution pour soulager leurs compagnons :

Ce traitement, couplé à une alimentation répondant pleinement à leurs Besoins Biologiques et Naturels, a pu permettre d’éviter l’euthanasie à bon nombre de chiens souffrants d’arthrose avancée. Dans bon nombre de situations, les chiens ont été réellement soulagés et ont pu reprendre une vie normale. Nous ne pouvons que vous recommander de l’essayer, en complément d’une alimentation réellement adaptée.

Comment tenter de soulager le vieux chien atteint d’arthrose ?

Il est désormais temps de vous donner un peu d’espoir pour la situation de votre compagnon. En effet, certains propriétaires ne connaissent pas encore notre méthode pour traiter l’arthrose du chien, même âgé, de manière naturelle. Elle repose sur deux clés, que voici.

Clé #1 : Le Canzocal, pour régénérer ses articulations

Depuis plus de 30 ans que nous élevons nos bouviers à l’élevage des Joyeuses Gambades, nous n’avons pas trouvé meilleur complément ostéo-articulaire contre l’arthrose du chien que le Canzocal. Ce complément, bien connu des éleveurs depuis plus de 30 ans, est 100% naturel. Il contient tout ce dont est constitué un os vivant : des protéines, des minéraux, des protéoglycanes et des acides aminés.

C’est cette composition, obtenue à partir de la déshydratation à basse température de cartilages et os animaux propres à la consommation humaine (et donc de votre chien), qui permet au Canzocal une double action :

• Véritable anti-douleur pour chien naturel, il le soulage de ses douleurs.
• Avec ses effets chondroprotecteurs et régénérateurs du cartilage, il permet de remettre rapidement les articulations du chien en mouvement.

Le Canzocal s’est avéré efficace, même sur des chiens dont l’arthrose est très avancée, et même lorsque les animaux sont à un âge avancé. Il est également simple à administrer, puisqu’il suffit d’intégrer la dose recommandé sur le paquet à sa gamelle, directement dans sa gueule, ou bien dans un yaourt nature pour lui donner facilement.

Le Canzocal n’est pas un médicament, il s’agit d’un complément naturel. C’est pourquoi on commence à voir les résultats en général à partir de 3 à 6 semaines de cure. Dans les cas d’arthrose avancée il faut en général attendre 6 à 8 semaines de cure pour obtenir un réel résultat satisfaisant.

Sans aucune contre-indication ni effet secondaire ni interaction médicamenteuse, nous vous recommandons de tester le Canzocal dès maintenant, en le commandant sur notre boutique en ligne.

Clé #2 : Une alimentation adaptée, pour préserver sa santé

Peut-être ne le saviez-vous pas, mais une alimentation inadaptée aux besoins originels du chien, qu’il s’agisse d’un aliment dit “spécial articulaire ou non”, participe pleinement au processus dégénératif , aggrave l’arthrose et son inflammation, au lieu de lutter contre.

Ainsi, même si votre chien est âgé et souffre initialement d’arthrose primitive (liée uniquement au vieillissement naturel de ses articulations), son alimentation peut très bien aggraver son arthrose au lieu de l’aider à lutter contre.

Alors comment devez-vous réagir ? Il vous faut trouver, en plus du Canzocal, une alimentation réellement adaptée à ses Besoins Biologiques et Naturels, qui évitera de dégrader encore plus sa santé articulaire.

Parce qu’il peut sembler difficile de choisir parmi l’offre de nourriture animale disponible sur le marché, voici les 5 critères de qualité alimentaire qui vous permettent de souscrire aux besoins originels réels de votre compagnon afin de l’aider face à l'arthrose :

1. Une alimentation sans légume, fruit, tubercule ou légumineuse. Votre compagnon est un carnivore par nature. Il ne peut digérer ces ingrédients, qui provoquent des inflammations de son système digestif et sont à l'origine de ce fameux réflexe postural dans bon nombre d’arthroses. Mais ces inflammations digestives sont aussi souvent à l’origine de selles molles et diarrhées chroniques, de vomissements de bile, de pancréatites aiguës ou encore de troubles hépatiques. D’ailleurs, en France, le Centre Antipoison de l’Ecole Nationale Vétérinaire classe déjà la pomme de terre¹, le raisin², l’ail et l’oignon³ comme aliments toxiques pour nos chiens. Du côté des Etats-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) témoigne chaque année depuis 2017 dans de multiples rapports du lien très probable entre certains légumes (cités ci-dessous), leurs dérivés (amidon de…, protéine de…, fibre de…) et des cas de cardiomyopathies chez les chiens⁴⁵⁶. Ainsi, qu'il s’agisse de pommes de terre, de patates douces, de lentilles, de pois, de pois-chiches, de petits pois, de tomates, de courgettes, ou d’autres ingrédients similaires, ils sont à bannir de sa gamelle.
2. Une alimentation riche en protéines et graisses animales de qualité. Et ô combien d’aliments pour chien ne respectent pas ce critère, pourtant si important pour nos carnivores domestiques ! C’est le cas notamment des pâtées et croquettes qui intègrent certains sous-produits animaux⁷⁸ qui ne sont en fait que des déchets de l’industrie agro-alimentaire humaine, où se mêlent têtes, carcasses, cuirs, cous, pattes, becs, et autres bas-morceaux que nous, humains, ne consommons pas. La provenance de ces protéines animales a également son importance. En effet, tous les pays n’ont pas la chance, comme la France, d’avoir des lois strictes sur le sujet. Par exemple, en Amérique du Nord, il est tout à fait légal d’intégrer à la nourriture animale des viandes avariées recyclées à la Javel⁹ ou à l’acide, ou encore des viandes reconstituées à base d’une mixture composée d’un mélange de graisses, d’eau et de farines animales d’origine douteuse. En Europe, nous ne sommes pas pas à l’abri de pratiques peu vertueuses pour la santé de nos chiens. La DGCCRF en témoigne elle-même, en indiquant que bon nombre de fabricants usent et abusent de l'appellation “viande fraîche” sur leurs produits¹⁰ ou de bien d’autres appellations également. Choisissez-lui donc une nourriture incluant une source de protéines et graisses animales provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et de pays aux législations fermes.
3. Une alimentation limitant son taux de glucides à 33% (soit ⅓ de la composition de l’aliment). C’est en effet seulement au-delà de cette limite maximum que les glucides commencent à agir sur la santé du chien. Ils provoquent notamment des soucis d’obésité, de diabète ou d’infections urinaires chroniques¹¹. Limitez donc ce taux maximum, sans pour autant remplacer les céréales par des légumes qui, eux, sont toxiques même en petite quantité pour votre animal.
4. Une alimentation cuite à basse température. En plus de dégrader l’intégrité nutritionnelle des bons aliments de la pâtée ou de la croquette, la cuisson à haute température créé dans la nourriture des acrylamides¹² (cancérigènes) et des Advanced Glycated End products¹³ (AGE, toxiques pour les reins du chien).
5. Une alimentation testée en laboratoire contre les OGM, métaux lourds et mycotoxines. Contre toute attente, ils sont actuellement présents en grande quantité dans bon nombre d'aliments pour animaux de compagnie. Les effets nocifs de ces éléments ne cessent d’être de plus en plus pointés du doigt par la communauté scientifique. Du côté des métaux lourds, par exemple, dont les effets dermatologiques sur les chiens ne sont plus à prouver, on les trouve en quantité parfois astronomique dans la PetFood. C’est ainsi que deux études récentes¹⁴¹⁵ ont observé que plus de 24% des aliments analysés contenaient des concentrations en Arsenic qui dépassaient la limite légale fixée par la directive européenne 2002/32 /CE. Sur les années 2011 et 2012 seulement, les chercheurs responsables de l’une de ces études ont d’ailleurs envoyé 7 notifications au RASFF¹⁶. A ce jour encore aucun contrôle n’a été mis en place. Pour éviter ce type d’intoxication chronique, il n’y a pas le choix : il s’agit de vous tourner vers des fabricants ayant fait tester en toute transparence leurs aliments, et qui affichent les résultats de ces analyses de manière claire.

Vous le voyez : il reste un espoir pour éviter l’euthanasie chez bon nombrer de chien qui souffre d’arthrose, même dans des stades très avancés. Mais finalement, cette décision, chargée en émotions, vous appartient. Veillez simplement à vous poser les bonnes questions, et être sûr que vous faites le meilleur choix pour lui.

Besoin d’être accompagné sur ce sujet difficile ? Nous sommes à votre disposition pour répondre à vos commentaires ci-dessous, ou vos messages par email. C’est bien une mission qui nous tient à cœur que d’aider les propriétaires comme vous à faire retrouver la santé à leurs chers compagnons, grâce aux bienfaits de la nature, quand cela est encore possible.

Références

1. Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[↑]
2. Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[↑]
3. L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[↑]
4. FDA (U.S. Food and Drug Administration) : FDA Investigation into Potential Link between Certain Diets and Canine Dilated Cardiomyopathy / Enquête de la FDA sur le lien possible entre certains régimes et la cardiomyopathie dilatée canine – Mis à jour le 27 juin 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/news-events/fda-investigation-potential-link-between-certain-diets-and-canine-dilated-cardiomyopathy[↑]
5. FDA (U.S. Food and Drug Administration) - Questions & Answers: FDA Center for Veterinary Medicine’s Investigation into a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease - June 27, 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/animal-health-literacy/questions-answers-fda-center-veterinary-medicines-investigation-possible-connection-between-diet-and[↑]
6. Tous les rapports de DCM : Dilated Cardiomyopathy in Dogs & Cats : Complaints Submitted to FDA-CVM - January 1, 2014 – April 30, 2019 : https://www.fda.gov/media/128303/download[↑]
7. SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[↑]
8. RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[↑]
9. Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/[↑]
10. Mentions d’étiquetage sur les aliments pour chiens et chats – Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/mentions-detiquetage-sur-aliments-pour-chiens-et-chats[↑]
11. Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html[↑]
12. FRC (Fédéraction Romande des Consommateurs) - Croquettes pour chat : la gamelle qui rend malade : https://www.frc.ch/croquettes-pour-chat-la-gamelle-qui-rend-malade/[↑]
13. Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney - Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899[↑]
14. Squadrone S , Brizio P , Simone G , Benedetto A , Monaco G , Abete MC – “Presence of arsenic in pet food : a real hazard ?” (Présence d’arsenic dans les aliments pour animaux de compagnie : un danger réel ?) – Vet Ital. 29 décembre 2017; 53 (4) : 303-307. doi : 10.12834 / VetIt.530.2538.2. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29307124 (Version entière au format PDF : http://www.izs.it/vet_italiana/2017/53_4/VetIt_530_2538_2.pdf[↑]
15. M. Davies , R. Alborough , L. Jones , C. Davis , C. Williams , et DS Gardner, (2017) : Mineral analysis of complete dog and cat foods in the UK and compliance with European guidelines “Analyse minérale d’aliments complets pour chiens et chats au Royaume-Uni et conformité aux directives européennes.” : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5719410/#CR5[↑]
16. RASFF - Food and Feed Safety Alerts : Créé en 1979, RASFF permet un partage efficace des informations entre ses membres (autorités nationales de sécurité des aliments des États membres de l'UE, Commission, EFSA, ESA, Norvège, Liechtenstein, Islande et Suisse) et fournit un service 24h / 24 pour garantir les notifications sont envoyées, reçues et traitées collectivement et efficacement. Grâce au RASFF, de nombreux risques en matière de sécurité alimentaire ont été évités avant d'avoir pu être nocifs pour les consommateurs européens. - https://ec.europa.eu/food/safety/rasff_en[↑]